C’est un beau roman
C’est une belle histoire…
Genèse du granulat de marbre
Pour un revêtement terrasse extérieure résine : Dans les profondeurs de la terre, bien à l’abri des regards, vivait une roche particulière. Ses parents étaient du calcaire et avec le temps elle se transforma en une roche magnifique. Au début, principalement composés de cristaux de calcite des pressions énormes exercées par le manteau terrestre la transformèrent en une roche d’un blanc immaculé. Parfois des oxydes minéraux se mélangeaient à elle. À d’autres moments des intercalations d’argile ou des minéraux diétriques l’envahissait.
Ce sont les grandes variétés de dessins et les colorations disparates (du blanc pur, presque sans veinage, aux gris et aux noirs, en passant par les roses, les verts, les jaunes…) due à la présence d’impuretés (oxyde de fer dans le rouge, sels de manganèse dans le violet, cuivre dans le vert etc.). Alors sous l’effet de ces formidables pressions environnementales, elle prenait des couleurs qui la rendaient irrésistiblement belle et précieuse. Logée au cœur même du manteau terrestre elle suivait les mouvements ascensionnels de la terre qui irrésistiblement la poussait vers le haut.
La révélation
Elle fut découverte un jour par les Grecs qui la surnommèrent « Marmaros ». Quand on sait que ce nom veut dire « Pierre resplendissante » on comprend pourquoi ces hommes lui ont donné des lettres de noblesse unique au monde. Depuis le premier jour où elle fut découverte on l’a utilisée dans les milieux artistiques et elle a été toutes ces années le symbole de la volonté des hommes. C’est en effet une matière rare, lourde, fragile et précieuse que seuls des maîtres savent travailler.
S’ils l’ont d’abord utilisée pour leurs sculptures, les Grecs ont très vite compris tout le parti qu’ils pourraient tirer de cette pierre prestigieuse. Ils l’utilisèrent par la suite en architecture, par blocs massifs pour de prestigieuses réalisations religieuses (statues de divinités, temples, tombeaux) ou politiques (stades, théâtres, palais royaux). Le marbre, le « Marmaros » des anciens, trouva sa place tout naturellement parmi les Dieux. Il était destiné à un grand destin et accédât ainsi à une dimension monumentale.
Matériau providentiel
Progressivement cette pierre remplaça les principaux matériaux de construction de l’époque comme le bois, la terre cuite ou d’autres matériaux communs. Dans cette nouvelle architecture, toute de pierre, charpente comprise, les éléments fonctionnels furent remplacés. Les métopes , les triglyphes , la frise dorique, qui étaient au début des plaques de terre cuite protégeant de l’humidité la charpente en bois, accédèrent à une valeur purement décorative. Même chose avec les annelets des colonnes, qui à l’origine étaient les cerclages des colonnes en bois. Dorénavant, chaque fois que cela était possible on utilisait le marbre.
Une inscription à Éleusis relate le transport en chariot à bœufs, vers -330, de tambours de colonnes depuis les carrières du Pentélique jusqu’au prostoon de Philon à Éleusis, dont chacun pesait environ 7,5 tonnes. Il se fit à flanc de montagne sur des traîneaux freinés par des cordes, et en plaine sur une distance de 35 km, sur une sorte de chariot de charpente robuste tiré par des bœufs.
Des grecs aux Romains
Puis un jour les Romains firent sa connaissance. Ce fut son âge d’or. Ce peuple porté sur le luxe et l’apparat lui fit découvrir le monde. Elle sortait enfin de l’anonyme « Marmaros » pour devenir le « Marmor » une pierre qu’il était dorénavant possible de lustrer. On obtenait son lustre par polissage. À partir de là, sa beauté naturelle fut sublimée en une multitude de déclinaisons. Mais l’exportation du marbre de Grèce revenait cher, pour répondre à des impératifs financier, il fallait trouver du marbre plus près. Très vite les fameuses carrières de marbre de Carrare, en Toscane commencèrent à être exploitées.
C’est également à cette époque que débute l’extraction dans les gisements de l’Alentejo du centre du Portugal. Bien que découverts à la même période dans l’actuelle Belgique, plus précisément en Wallonie, les fameux marbres noir belge et rouge royal ne connaîtront leurs heures de gloire que plus tardivement avec Golzinne ou Dinant. Des centaines d’années plus tard, ce marbre sera utilisé dans l’ornementation du château de Versailles.
À la nécessité d’extraire les pierres pour les besoins du marché s’ajoutait chez les romains un goût particulier pour l’exploit, qui s’exprimait par l’extraction de pièces monumentales. Par exemple, les colonnes du Panthéon (Ier siècle av. J.-C.) hautes de 12 m, pèsent 56 tonnes. Les hommes l’arrachaient de la terre ou des montagnes, au prix d’efforts surhumains.
Les pierres sur le site romain de Baalbeck (La Pierre de la femme enceinte pèse 1 000 tonnes), étaient placées sur des rouleaux insérés au fur et à mesure de la taille et une fois découpées étaient tractées par de multiples palans solidement ancrés dans le sol.
À la conquête du monde
Ils l’exportèrent dans tout l’empire Romain et firent connaitre cette pierre dans les parties les plus reculées de la surface du globe. Là où les Romains mettaient le pied, le marbre apparaissait. Ils exploitèrent les plus riches carrières, découvrirent les plus secrets filons et s’enrichirent comme il n’est pas possible de s’enrichir. Tout cela grâce à cette pierre hors du commun. Les temples de leurs dieux et de leurs déesses étaient lambrissés de marbre. Les sols polis brillaient de tout leur éclat sous les couleurs chatoyantes de cette pierre rare.
Les statues représentant des dieux sont encore là pour témoigner de la finesse et de la maitrise des artistes qui se sont accaparé cette pierre unique. Pendant des années le marbre fut synonyme de luxe, de réussite sociale, de pouvoir, de richesse et d’un sens artistique hors du commun. De l’antiquité (Pline l’Ancien) au XVIIIème siècle on crut longtemps que le marbre était une matière vivante. Effectivement le marbre recomble les excavations des carrières épuisées. Les anciens pensaient qu’il renaissait. On sait maintenant que c’est un phénomène naturel, tout à fait normal et unique au marbre.
Grandeur et décadence
Mais l’empire Romain n’était pas éternel, un jour il s’effondra sous les coups des barbares. Des hordes de sauvages sanguinaires se mirent à fondre sur lui. Les cités tombèrent les unes après les autres et furent mises à sac. Les palais furent détruits et la culture romaine et ses déviances tombèrent dans l’oubli.
Comme un ami délaissé le marbre cessa d’être exploité. Il faillit bien tomber dans l’oubli. Mais c’était sans compter sur sa formidable séduction naturelle. Cette pierre était belle et elle exerça de nouveau une attirance sur les hommes comme elle avait toujours eus.
Les temps modernes – Le revêtement terrasse extérieure résine
À notre époque on extrait toujours du marbre. De nouvelles carrières ont été découvertes dans le monde entier et de nouveaux marchés se sont ouverts. Actuellement c’est la Turquie qui abrite les plus gros producteurs de marbre au monde. Une nouvelle utilisation du marbre fut découverte au XXème siècle, le revêtement terrasse extérieure résine. Pour les besoins en sable, des machines furent inventés pour découper, débarder, transformer des énormes blocs de pierre. C’est ainsi que l’on a découvert comment broyer le marbre, le trier et le conditionner sous des formes plus faciles à manipuler.
Nouvelles formes d’exploitation
Le granulat de marbre fait son apparition dans le monde du marbre, c’est un nouveau revêtement terrasse extérieure résine. Aujourd’hui, il existe de nombreuses machines pour broyer les blocs de marbre. Les concasseurs à mâchoires, les concasseurs à cônes, les broyeurs à sable, les concasseurs mobiles, les concasseurs à percussions, les concasseurs verticaux etc… Même la manutention est devenue presque facile grâce aux engins de levage modernes. Malgré tout, le métier de marbrier de carrière reste un métier à hauts risques.
On ne dynamite plus très souvent dans les carrières de marbre. La principale activité est la découpe des blocs. Elles sont d’une précision remarquable et que ce soit de gros ou de plus petits blocs il est aisé aujourd’hui de découper un bloc à la bonne mesure. Le transport aussi a bénéficié du modernisme. Même s’il reste toujours spectaculaire, de nos jours il est plus facile de transporter un ou plusieurs blocs de marbre. Les camions modernes peuvent transporter des blocs de plusieurs tonnes. Oubliées les longues files de bœufs qui tiraient les chariots. Oubliées les dangereuses descentes des blocs à flanc de montagne. Terminée la mise en danger de vies humaine pour bouger les énormes blocs destinés aux usines marbrières de la vallée.
Oui, fini le danger permanent, place à la sécurité. Cette pierre exceptionnelle s’en trouve davantage demandée et sa normalisation devient une évidence pour les différents acteurs de la filière marbrière.
La solution – Le revêtement terrasse extérieure résine
La science rejoint l’histoire de façon remarquable en fournissant des produits complémentaires pour le marbre et en particulier pour le granulat. La résine. Depuis déjà quelque temps les peintures ont cédé la place à la résine. On fabrique de plus en plus d’objet en résine. On fabrique même des pièces en résine en lieu et place de l’acier que l’on utilisait ces derniers années. Même les piscines sont faites à présent en résine. Il n’en fallait pas plus pour proposer la résine comme liant au granulat de marbre. Et ça marche ! Les temps de polymérisation (séchage) sont suffisamment longs pour travailler le mélange ainsi obtenu et faire des surfaces tirées au cordeau.
Le résultat ? Des sols d’un design exceptionnel, un revêtement terrasse extérieure résine novateur. Grâce à sa facilité de pose il devient possible de personnaliser sa terrasse, ses plages de piscine ou ses allées de jardin. Il est possible d’incorporer au beau milieu, des dessins, des figures géométriques ou des formes oblongues. Les nombreuses couleurs disponibles permettent des effets chromatiques saisissants. Sans conteste ce nouveau revêtement terrasse extérieure résine est la révélation du XXIème siècle.
Il lui aura fallu des millions d’années pour devenir ce qu’il est devenu. Plus de mille ans pour apparaitre à la surface de la terre. Et des centaines pour grandir en majestueuse montagne. Mais c’est au siècle des lumières qu’il a fait une nouvelle apparition sous la forme d’un revêtement terrasse extérieure résine. Toujours aussi beau, toujours aussi précieux, et toujours aussi rare. Il continue à enchanter les hommes, à les fédérer autour d’une vision d’avenir et restera à jamais la pierre qui fait rêver.
Erick.
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