Faut-il se méfier de l’aluminium ?
L’aluminium est un matériau moderne qui a de nombreuses qualités techniques. Il est :
- Inoxydable naturellement,
- Léger
- Recyclable
- Solide
- Il possède une grande longévité
- Etc…
Dans nos surfaces en granulat de marbre et résine RESIMARMO, nous utilisons l’aluminium. Il sert à délimiter les surfaces, les nez de marche et nous l’appelons RESIPROFIL. C’est le matériau idéal pour ces utilisations. Mais cela n’a rien à voir avec la filière alimentaire. Parce que l’aluminium n’est pas bon pour tout.
De l’aluminium dans les boissons
Sans vous en rendre compte, vous faites probablement chaque matin un geste qui laisse pénétrer dans votre corps un produit pouvant se révéler hautement toxique. Vous le répétez peut-être plusieurs fois par jour, sans prendre conscience du potentiel risque pour votre santé. Ce geste, c’est celui-ci :
Attention, je ne suis pas en train de vous dire d’arrêter de boire du café…
Je parle plutôt de la façon dont votre café est préparé. Si vous buvez du café préparé avec des capsules en aluminium, vous êtes directement concerné. Mais lisez bien cet article jusqu’au bout car vous verrez que cet élément se cache dans une part importante de notre alimentation. Et je vous révèle aussi comment vous pourriez purger votre corps de cet intrus.
C’est l’un des principaux thèmes abordés lors du dernier Congrès International de la Santé Naturelle qui s’est tenu en décembre dernier à Marseille. Le Professeur Exley, l’un des plus éminents spécialistes de ce sujet, est venu en parler devant un amphithéâtre plein à craquer.
Après le plomb, le mercure, l’amiante, je suis prêt à parier que le prochain scandale sanitaire concernera l’omniprésence de l’aluminium dans notre quotidien. Mais il semble que personne ne prenne le problème au sérieux. Vous-même avez probablement déjà entendu parler des dangers de l’aluminium.
Mais avez-vous vraiment connaissance de son impact sur votre santé ? J’en ai pris conscience pour la première fois lors d’un débat passionné avec Rose Razafimbelo, grande spécialiste du vieillissement. Elle considère que l’aluminium est l’un des grands agents pro-oxydants et pro-inflammatoires qui accélèrent le vieillissement de nos cellules et de nos tissus. Et cela pourrait avoir des conséquences irréversibles sur votre cerveau.
L’aluminium pourrait oxyder votre cerveau
Normalement notre corps est conçu pour éliminer les déchets grâce à notre système digestif et au rôle filtrant des reins qui « nettoient » notre sang. Mais une partie de l’aluminium que nous ingérons échappe à cette grande machine de nettoyage. Résultat : des particules infimes d’aluminium finissent par s’accumuler dans notre organisme, en particulier dans notre cerveau. Là, l’aluminium peut tranquillement y faire des dégâts irréparables.
Certains spécialistes comme le Pr. Exley considèrent qu’il pourrait déclencher une inflammation chronique responsable de maladies dégénératives du cerveau comme des démences ou la maladie d’Alzheimer. Mais il jouerait peut-être aussi un rôle dans d’autres troubles neurologiques et notamment l’autisme et la myofasciite à macrophages. Derrière ce nom barbare, se cache une maladie grave qu’on ne sait pas soigner : elle provoque des troubles neurologiques très handicapants, des pertes de mémoire, des douleurs partout dans les muscles, et une très grande fatigue.
Et ce n’est pas tout…
Les déodorants anti-transpirants à base d’aluminium sont depuis longtemps suspectés de jouer un rôle dans l’explosion du nombre de cancers du sein. Et pourtant, on en trouve partout ! Nous en absorbons probablement chaque jour sans nous en rendre compte ! Rose Razafimbelo est affolée par l’ampleur du phénomène. Elle me disait :
« Le plus malheureux, c’est qu’il existe un moyen tout simple d’empêcher l’aluminium de trop s’accumuler dans notre corps. »
Un risque quotidien ?
Ce simple geste que vous accomplissez 20 fois par jour, ouvrir le robinet pour vous servir un verre d’eau, est loin d’être anodin. Il pourrait, sans mauvais jeu de mots, faire dangereusement « déborder le vase ».
En buvant un verre d’eau du robinet, vous ingérez peut-être sans le savoir une microscopique dose d’aluminium. Sur certains réseaux d’eau, en effet, le procédé de traitement des eaux usées utilise des sels d’aluminium pour assainir l’eau et la rendre potable (floculation). D’après l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), cette étape « permet notamment de réduire la présence de micro-organismes dans l’eau (bactéries, virus, parasites), d’en améliorer la couleur et la turbidité et d’atteindre une qualité d’eau garantissant l’efficacité de l’étape de désinfection ».
À l’issue du processus, la dose résiduelle d’aluminium est dérisoire, heureusement. Si les installations respectent les normes, l’eau de votre robinet ne devrait en théorie pas dépasser 200 μg d’aluminium/L, selon les recommandations de l’OMS. Je dis « en théorie » car ce seuil est parfois dépassé. Et cette micro-dose d’aluminium vient alors s’ajouter à toutes les doses microscopiques que vous ingérez probablement à longueur de journée, pouvant provenir d’autres sources comme :
Certains médicaments que vous prenez tous les jours. Par exemple, les médicaments contre les remontées acides ont généralement une forte teneur en aluminium.
De l’aluminium dans vos aliments
Votre poisson cuisiné en papillote avec du « papier d’alu ». Avec la chaleur, l’aluminium migre du papier vers les aliments. Et c’est encore plus grave si vous ajoutez une tranche de citron : l’acidité accentue le phénomène !
Les aliments industriels comme le pain de mie, les glaces, les plats préparés, etc. : ils peuvent contenir des additifs alimentaires (pourtant autorisés) à base d’aluminium. À la fois colorants, anti-agglomérants, raffermissants, conservateurs, agents blanchissants, etc… la plupart des industriels les adorent !
La plupart des emballages (canettes, capsules de café, conserves, etc.)
Et même les ustensiles de cuisine, quand ils sont conçus avec de l’aluminium. Dans votre salle de bains aussi, l’exposition peut être permanente.
Votre déodorant anti-transpirant peut contenir jusqu’à 20 % de sels d’aluminium. Et l’aluminium passe à travers la peau (surtout quand elle est lésée, comme quand vous vous rasez les aisselles) ! L’aluminium serait présent dans certains produits de maquillage ! Mais les géants de cosmétiques ont du mal à s’en passer. Il est tellement pratique : il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis à ongles, blanchit les dents…
Votre teinture de cheveux, votre dentifrice, etc. Et il est même présent à l’état naturel dans certains végétaux.
Même le thé bio pourrait en contenir !
On trouve de l’aluminium aussi dans certains légumes et céréales. ! Normal, puisque l’aluminium est naturellement présent dans la croûte terrestre. Le cacao par exemple en contient 50 mg/kg. C’est l’un des végétaux les plus riches en aluminium, avec le thé. Les plants de thés absorbent en effet des quantités significatives d’aluminium par les racines. Même s’ils sont bios ! Lorsqu’on se prépare une tasse de thé (surtout le noir), il est impossible de ne pas boire de l’aluminium.
Certains laits infantiles contiendraient 2 fois plus d’aluminium que les doses autorisées dans l’eau du robinet (d’après le Pr. Christopher Exley, le grand spécialiste britannique de la question). Le constat est effarant : aujourd’hui, il est impossible de connaître la dose que vous ingérez, respirez, absorbez chaque jour… Alors que toutes sources confondues, les autorités sanitaires suggèrent que l’organisme peut tolérer jusqu’à 1 mg d’alu/kg de poids corporel/semaine.
Selon certaines estimations, la limite de 1 mg/kg de poids corporel/semaine serait allègrement franchie par une grande partie de la population. Et 5 % d’entre eux ingéreraient jusqu’à 95 mg d’aluminium PAR JOUR ! Or, ce métal n’a rien à faire dans notre organisme. La médecine orthomoléculaire ne lui a trouvé aucun bénéfice physiologique, à la différence du fer ou du zinc.
Heureusement, vous allez voir que la nature nous a mis à disposition un allié extrêmement précieux pour limiter la fixation de l’aluminium de se fixer dans nos cellules. C’est ce que révèle Rose Razafimbelo dans le tout dernier numéro du Journal de la Médecine Anti-Âge.
Branchez l’aspirateur à aluminium naturel
Il existe, dans notre corps, un oligo-élément qui agit comme un véritable « aspirateur » à aluminium. Il nous aide à capter le trop-plein d’aluminium de notre organisme pour mieux l’éliminer via les urines. Malheureusement nos réserves diminuent avec l’âge et le travail de « nettoyage » est de moins en moins efficace. Voilà pourquoi Rose Razafimbelo vous montre :
- Quel est l’apport quotidien optimal et quels sont les aliments qui en contiennent naturellement ;
- Quelle forme de ce nutriment est la mieux assimilée par l’organisme ;
- Une merveilleuse « astuce de grand-mère » qui devrait vous aider à refaire le plein de cet oligo-élément
- Comment il peut vous aider à lutter contre la plupart des maladies liées à l’âge (dont l’arthrose)
- La liste des additifs qui contiennent de l’aluminium et dont vous devriez réduire la consommation de toute urgence.
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